Équivalents textuels pour : Évaluation du Programme de développement des collectivités
Figure 1: Modèle logique – Programme de développement des collectivités
Les intrants du modèle logique sont les coûts de fonctionnement et d’entretien, les traitements et salaires, et les subventions et les contributions.
Les activités et les extrants du modèle logique sont divisés en deux groupes : Élaboration et entretien de programmes et Exécution de programmes.
Les activités du groupe Élaboration et entretien sont l’élaboration de programme, la planification et la gestion de programmes; la surveillance et la prestation de soutien autre que financier pour aider les ODC, et la mesure du rendement des ODC et l’attribution des fonds.
L’activité pour le groupe Exécution de programmes est le financement des sociétés d’aide au développement des collectivités.
Les extrants pour le groupe Élaboration et entretien propres aux ministères du gouvernement du Canada sont les politiques, les plans, les rapports et les outils de programme et les ressources de communication; les conseils, les renseignements et le soutien, et finalement l’ajustement financier.
L’extrant pour le groupe Exécution de programmes propres aux ministères du gouvernement du Canada est la capitalisation et les contributions pour les coûts de fonctionnement des ODC afin d’appuyer le développement économique des collectivités, grâce à la planification stratégique, aux services aux entreprises et à l’accès au capital.
Les extrants pour le groupe Élaboration et entretien propres aux sociétés d’aide au développement des collectivités sont le financement des entreprises; les connaissances et les compétences en développement des entreprises; les plans stratégiques communautaires, et les projets et partenariats de développement économique des collectivités.
Les résultats immédiats du modèle logique sont l’amélioration de l’accès au capital et de l’effet de levier grâce à des prêts, à des garanties de prêts à des participations au capital pour les entreprises et les entreprises d’économie sociale; l’amélioration et le renforcement des services de développement des entreprises – information, conseils, références et formation; le renforcement de la planification stratégique des collectivités, et la mise en œuvre plus efficace au moyen de projets, de partenariats créés et d’autres initiatives de développement économique des collectivités.
Les résultats intermédiaires du modèle logique sont l’amélioration des pratiques commerciales et l’augmentation de l’entrepreneuriat; le renforcement et l’expansion des entreprises, et le renforcement des capacités des collectivités pour le développement socio-économique.
Les résultats finaux du modèle logique sont la stabilité économique, la croissance et la création d’emplois; les économies locales rurales diversifiées et concurrentielles, et les collectivités économiquement viables.
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Figure 2: Secteur des affaires
12,4 % des clients ayant répondu au sondage ont choisi Commerce de détail comme secteur des affaires;
7 % des clients ayant répondu au sondage ont choisi Services d’hébergement et de restauration comme secteur des affaires;
6,5 % des clients ayant répondu au sondage ont choisi Agriculture, foresterie, pêche et chasse comme secteur des affaires;
6,4 % des clients ayant répondu au sondage ont choisi Fabrication comme secteur des affaires;
6 % des clients ayant répondu au sondage ont choisi Construction comme secteur des affaires;
4,3 % des clients ayant répondu au sondage ont choisi Autres services (sauf les administrations publiques) comme secteur des affaires;
4,3 % des clients ayant répondu au sondage ont choisi Arts, spectacles et loisirs comme secteur des affaires;
4,3 % des clients ayant répondu au sondage ont choisi Services professionnels, scientifiques et techniques comme secteur des affaires;
3,3 % des clients ayant répondu au sondage ont choisi Soins de santé et assistance sociale comme secteur des affaires;
3,3 % des clients ayant répondu au sondage ont choisi Services d’enseignement comme secteur des affaires;
3,3 % des clients ayant répondu au sondage ont choisi Transport et entreposage comme secteur des affaires;
2,1 % des clients ayant répondu au sondage ont choisi Extraction minière et extraction de pétrole et de gaz comme secteur des affaires;
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Figure 3: Proportion des clients croyant que l'absence de financement accordé par les SADC aurait une incidence sur leurs entreprises
43 % des clients ont indiqué que leur nouvelle entreprise était considérée comme étant risquée;
37,4 % des clients ont indiqué que des préoccupations ont été soulevées quant aux biens à donner en garantie;
19,9 % des clients ont indiqué que des préoccupations ont été soulevées quant à leurs antécédents de crédit;
13,4 % des clients ont indiqué que des préoccupations ont été soulevées quant au récent rendement financier de leur entreprise.
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Figure 4: Proportion des clients croyant que l'absence de financement accordé par les SADC aurait une incidence sur leurs entreprises
60,5 % des clients croyaient que l’absence du financement accordé par les SADC se traduirait par moins d’entreprises en démarrage;
46,8 % des clients croyaient que l’absence du financement accordé par les SADC se traduirait par l’expansion d’un nombre moins élevé d’entreprises;
46,2 % des clients croyaient que l’absence du financement accordé par les SADC se traduirait par moins d’entreprises en activité;
36,9 % des clients croyaient que l’absence du financement accordé par les SADC se traduirait par un nombre moins élevé de plans stratégiques et de projets de développement.
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Figure 5: Proportion des partenaires des SADC croyant que l'absence de financement accordé par ces dernières aurait une incidence sur leurs entreprises
78 % des partenaires croyaient que l’absence du financement accordé par les SADC se traduirait par moins de démarrages d’entreprises;
70,9 % des partenaires croyaient que l’absence du financement accordé par les SADC se traduirait par des projets de développement économique de moindre envergure;
70,4 % des partenaires croyaient que l’absence du financement accordé par les SADC se traduirait par un nombre moins élevé de projets de développement économique;
69,5 % des partenaires croyaient que l’absence du financement accordé par les SADC se traduirait par l’expansion d’un nombre moins élevé d’entreprises;
67,2 % des partenaires croyaient que l’absence du financement accordé par les SADC se traduirait par un nombre moins élevé d’entreprises qui pourraient demeurer en activité;
65,6 % des partenaires croyaient que l’absence du financement accordé par les SADC se traduirait par un nombre moins élevé de plans stratégiques.
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Figure 6: Taux de demande de financement des petites entreprises
En 2000, le taux de demande de financement des petites entreprises était de 34 %;
En 2001, le taux de demande de financement des petites entreprises était de 30 %;
En 2004, le taux de demande de financement des petites entreprises était de 27 %;
En 2007, le taux de demande de financement des petites entreprises était de 23 %;
En 2009, le taux de demande de financement des petites entreprises était de 16 %;
En 2010, le taux de demande de financement des petites entreprises était de 21 %;
La période s’échelonnant de 2000 à 2008 se caractérise par une expansion économique;
La période s’échelonnant de 2008 à 2009 se caractérise par une crise ou une récession;
La période s’échelonnant de 2009 à 2010 se caractérise par une reprise économique.
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Figure 7: Compounded annual employment growth in Western Canada for firms with less than 100 ALUs (2004–09)
Le total du taux annuel composé de croissance de l’emploi pour les entreprises appuyées par les SADC était de 8,2 %;
Le total du taux annuel composé de croissance de l’emploi pour les entreprises non appuyées par les SADC était de 83,9 %;
Le taux annuel composé de croissance de l’emploi pour les entreprises appuyées par les SADC et œuvrant dans le secteur Agriculture, foresterie, pêche et chasse était de 8,7 %;
Le taux annuel composé de croissance de l’emploi pour les entreprises non appuyées par les SADC et œuvrant dans le secteur Agriculture, foresterie, pêche et chasse était de 1,7 %;
Le taux annuel composé de croissance de l’emploi pour les entreprises appuyées par les SADC et œuvrant dans le secteur Construction était de 7,2 %;
Le taux annuel composé de croissance de l’emploi pour les entreprises non appuyées par les SADC et œuvrant dans le secteur Construction était de 5,8 %;
Le taux annuel composé de croissance de l’emploi pour les entreprises appuyées par les SADC et œuvrant dans le secteur Commerce de détail était de 10,3 %;
Le taux annuel composé de croissance de l’emploi pour les entreprises non appuyées par les SADC et œuvrant dans le secteur Commerce de détail était de 3,7 %;
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Figure 8: Taux de survie, par année, après le démarrage d’entreprises de l’Ouest du Canada comptant moins de 100 UMM, dans tous les secteurs d’activité (2000-2010)
Pour la première année, le taux de survie des entreprises appuyées par les SADC était de 86 %;
Pour la première année, le taux de survie des entreprises non appuyées par les SADC était de 86 %;
Pour la deuxième année, le taux de survie des entreprises appuyées par les SADC était de 86 %;
Pour la deuxième année, le taux de survie des entreprises non appuyées par les SADC était de 75 %;
Pour la troisième année, le taux de survie des entreprises appuyées par les SADC était de 78 %;
Pour la troisième année, le taux de survie des entreprises non appuyées par les SADC était de 69 %;
Pour la quatrième année, le taux de survie des entreprises appuyées par les SADC était de 76 %;
Pour la quatrième année, le taux de survie des entreprises non appuyées par les SADC était de 64 %;
Pour la cinquième année, le taux de survie des entreprises appuyées par les SADC était de 76 %;
Pour la cinquième année, le taux de survie des entreprises non appuyées par les SADC était de 60 %;
Pour la sixième année, le taux de survie des entreprises appuyées par les SADC était de 75 %;
Pour la sixième année, le taux de survie des entreprises non appuyées par les SADC était de 57 %;
Pour la septième année, le taux de survie des entreprises appuyées par les SADC était de 72 %;
Pour la septième année, le taux de survie des entreprises non appuyées par les SADC était de 54 %;
Pour la huitième année, le taux de survie des entreprises appuyées par les SADC était de 74 %;
Pour la huitième année, le taux de survie des entreprises non appuyées par les SADC était de 51 %;
Pour la neuvième année, le taux de survie des entreprises appuyées par les SADC était de 60 %;
Pour la neuvième année, le taux de survie des entreprises non appuyées par les SADC était de 47 %.
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Taux de croissance, sur douze mois, des ventes des entreprises, comptant moins de 100 UMM, de tous les secteurs d'activité de l'Ouest du Canada (2005 2010)
En 2006, le taux de croissance des ventes des entreprises appuyées par les SADC était de 41,4 %;
En 2006, le taux de croissance des ventes des entreprises non appuyées par les SADC était de 25,6 %;
En 2007, le taux de croissance des ventes des entreprises appuyées par les SADC était de 26,3 %;
En 2007, le taux de croissance des ventes des entreprises non appuyées par les SADC était de 11,7 %;
En 2008, le taux de croissance des ventes des entreprises appuyées par les SADC était de 21,8 %;
En 2008, le taux de croissance des ventes des entreprises non appuyées par les SADC était de 17,6 %;
En 2009, le taux de croissance des ventes des entreprises appuyées par les SADC était de -0,3 %;
En 2009, le taux de croissance des ventes des entreprises non appuyées par les SADC était de -13,2 %;
En 2010, le taux de croissance des ventes des entreprises appuyées par les SADC était de 2,2 %;
En 2010, le taux de croissance des ventes des entreprises non appuyées par les SADC était de 2,6 %.
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Figure 10: Proportion des clients très satisfaits des services aux entreprises offerts par les SADC
La proportion de clients satisfaits des services d’information aux entreprises était de 84,1 %;
La proportion de clients satisfaits des services de conseils aux entreprises était de 82,8 %;
La proportion de clients satisfaits des services d’aide pour élaborer un plan d’activités était de 81,2 %;
La proportion de clients satisfaits des services de formation sur les compétences en affaires était de 80,2 %;
La proportion de clients satisfaits des services d’aiguillage vers d’autres organismes d’information aux entreprises était de 68,2 %.
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