1er octobre 2018 - Regina (Saskatchewan) - Troisième séance
Date : 1er octobre 2018
Lieu : Regina (Saskatchewan)
Nombre total de participants
Organisations | |||
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1. | Bill Ready, EVRAZ | 4. | Tyler Hopson, Mosaic/Saskatchewan Mining Association |
2. | Bob Dumur, Pro Metal Industries | 5 | David Froh, Economic Development Regina |
3. | Mark MacLeod, ISM Canada |
Principaux thèmes ou idées
- Une bonne technologie et des incitatifs sont nécessaires pour progresser vers le haut de la chaîne alimentaire.
- Mobiliser nos forces et continuer de nous appuyer sur celles-ci.
- L’effet cumulatif des règlements peut nuire aux entreprises – travailler avec d’autres ministères : RNCan, ECCC et Santé Canada.
- En matière d’instruction, la barre est placée de plus en plus haut. Poursuivre la formation, mais de façons ciblées.
- Choisir un secteur dans lequel nous pouvons livrer concurrence et maîtriser la chaîne de valeur.
Q1) À quoi ressemblera une économie de l'Ouest canadien plus solide dans dix ans?
- Plus d’emplois pour les Autochtones.
- Problèmes de transport, y compris les pipelines et le transport ferroviaire. Il existe des solutions, mais il faut s’engager. Nous avons de formidables ressources, mais nous créons des obstacles bureaucratiques. Nous avons besoin d’une orientation claire.
- Pourquoi ne sommes-nous pas un fournisseur de produits alimentaires pour le monde? Pour progresser vers le haut de la chaîne alimentaire, nous avons besoin d’une bonne technologie et les entreprises ont besoin d’incitatifs. Choisir un secteur dans lequel nous pouvons livrer concurrence et maîtriser la chaîne de valeur.
- Nous devons être très prudents et honnêtes. Investissons-nous pour faire croître l’économie ou nous en tenons-nous à un secteur?
- Nous devons apporter notre aide au-delà de la formation. Nous devons aider les travailleurs à se perfectionner.
Q2) Quelles sont les meilleures façons de stimuler une nouvelle croissance dans l’Ouest canadien?
- L’initiative des supergrappes est le meilleur programme du gouvernement fédéral. Le gouvernement fédéral est loin de là où s’effectue le travail, une solution menée par l’industrie sur le terrain est donc une bonne idée.
- Nous n’aurions pas de bonne supergrappe sans les actifs existants. Il existe encore des problèmes en matière de transport et d’inclusivité.
- Mobiliser nos forces. Les ressources naturelles sont notre force. Pouvons-nous donc mettre l’accent sur ces forces tout en explorant de nouveaux domaines de croissance?
- Examiner les secteurs dans lesquels nous affichons de bons résultats en matière d’émissions par rapport à la concurrence mondiale et nous récompenser pour nos améliorations.
- Le secteur de l’extraction minière a bien fait pour ce qui est d’embaucher des Autochtones, surtout dans le secteur de l’uranium.
- Nous avons besoin de décisions fondées sur des données probantes.
Q3) Qu’est-ce qui permettra à l’économie autochtone de continuer à croître?
- Financement pour de la formation, étant donné que de nombreux Autochtones n’ont pas beaucoup d’outils. Il y a beaucoup de formation, mais pour des emplois qui n’existent pas ou pour lesquels il y a très peu d’activité.
- La Politique des retombées industrielles et technologiques (programmes de DEO) a contribué à la croissance de l’économie autochtone.
- La mondialisation se poursuivra; nous devons aborder les défis en matière d’infrastructure.
- Lancement des mégadonnées; pouvons-nous mettre l’accent sur les objectifs futurs et non sur le passé?
Q4) Comment pouvons-nous améliorer la participation économique dans l’Ouest des groupes sous-représentés (notamment les femmes, les jeunes et les nouveaux immigrants)?
- Des incitatifs peuvent être utiles aux entreprises, mais les niveaux obligatoires ne sont pas bons.
- Aujourd’hui au Canada, bon nombre de jeunes ne veulent pas travailler par quart ni dans certains secteurs; nous nous sommes donc tournés vers les immigrants pour obtenir une main-d’œuvre régulière.
- En matière de formation, la barre est placée de plus en plus haut. Formons-nous les jeunes aux emplois du futur?
- Certaines entreprises locales ont de la difficulté à recruter des diplômés à l’échelle locale.
- Poursuivre les formations et faire participer les personnes à un jeune âge.
Q5) Comment les gouvernements, l’industrie et les Canadiens de l’Ouest peuvent-ils collaborer pour faire croître l’économie régionale?
- Certaines politiques d’Environnement et Changement climatique Canada ne cadrent pas avec le renforcement de l’Ouest. P. ex. la tarification du carbone, la Norme sur les combustibles propres et la Loi sur l’évaluation des impacts.
- Les obstacles provinciaux aux initiatives fédérales nuisent à la province, étant donné que nous ne percevons pas tout le financement fédéral d’autres provinces.
- Nous devons résoudre les problèmes sociaux dans ce pays. Les soins de santé nécessitent une croissance de 2,6 % du PIB pour couvrir les coûts. Des investissements dans la prévention et fournir une assistance sociale aux personnes marginalisées (dans le Nord, dans les régions rurales et les personnes atteintes d’une déficience mentale) pourraient réduire les coûts.
- Dites-moi quelle est la stratégie qui offrira une meilleure compréhension à mon entreprise. Nous saurons ainsi où nous orienter, et les choses seront plus claires.
- Effet cumulatif des règlements – regardez la liste complète des programmes et ce que nous faisons.
- La politique des minéraux et des métaux canadiens de RNCan porte sur quelques-uns des mêmes thèmes que la Stratégie de croissance de l’Ouest canadien. Il faut fusionner certaines initiatives.
- Il faut assainir l’environnement tout en augmentant les résultats, dans la mesure du possible.
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