29 october 2018 - Vancouver (Colombie-Britannique)
Date: 29 october 29 2018
Location: Vancouver (Colombie-Britannique)
Participants
Organisations | |||
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1. | David Lepage, Buy Social Canada | 2. | Michael Henderson, Conseil de la Porte d'entrée du Grand Vancouver |
3. | Angelo Cocco, Gouvernement de la Colombie-Britannique | 4. | Bryan Cox, Association minière de la Colombie-Britannique |
5. | Calista Cheung, Banque du Canada | 6. | Helen Burt, Université de la Colombie-Britannique |
7. | Jonathan Rhone, Axine Water Technologies |
Membres de DEO présents | |||
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1. | Gerry Salembier | 2. | Raveena Sidhu |
3. | Miriam Wilson |
Q1) À quoi ressemblera une économie de l'Ouest canadien plus solide dans dix ans?
- Comment définit-on la réussite économique? Pour parler de croissance et de réussite, il faut d'abord les définir. L'Écosse affirme que la croissance n'existe qu'avec l'inclusion. Nous devrions examiner cette valeur mixte (financière et sociale).
- SPAC pourrait envisager d'inclure l'entreprise à vocation sociale dans son budget annuel d'approvisionnement de 20 milliards de dollars.
- Le succès se traduit par des collectivités plus saines.
- Il serait bon que nous nous entendions sur des indicateurs financiers/sociaux qui traitent de l'inclusion (p. ex. certification du mandat social – B Corp)
- Il a été prouvé que l'inclusion de femmes dans les conseils d'administration améliore les résultats financiers d'une entreprise.
- Le secteur de la technologie va entraîner une perte massive d'emplois dans 10 à 20 ans. Les jeunes n'orientent donc pas leurs études vers des secteurs précis. Son entreprise vend des produits à des sociétés pharmaceutiques, etc. Sa production double dans les installations de fabrication, mais sa main-d'œuvre diminue. L'automatisation change les chaînes de valeur à plusieurs niveaux. Le secteur de la technologie détruit des emplois en raison de l'objectif d'efficacité.
- L'OCDE utilise des mesures du bien-être qui sont comparables d'un pays à l'autre. Le Canada est bien classé. Ça ne tient pas compte de la richesse des secteurs/régions, mais il vaut la peine d'examiner ces mesures. L'OCDE et Statistique Canada travaillent à l'élaboration de mesures du PIB qui tiennent compte du bien-être. Les mesures sont présentes, mais il s'agit de les utiliser davantage. Le gouvernement devrait les utiliser davantage.
- Les consultations du Comité de gestion exécutif n'ont pas tenu compte des impacts environnementaux, ce qui a constitué un recul.
- Ce n'est peut-être pas binaire. Il s'agit peut-être d'élaborer des indicateurs économiques.
- Le gouvernement de la Colombie-Britannique a trois priorités : rendre la vie abordable; fournir des services; développer une économie durable et novatrice. L'indicateur de progrès véritable (IPV) en est à ses débuts. Tient compte des progrès économiques, sociaux et environnementaux. La croissance est ce qui importe le plus, l'accent est mis sur la façon dont les trois programmes évoluent simultanément.
- La Colombie-Britannique vieillit comme les provinces de l'Atlantique. Nous vieillissons plus rapidement.
- Industrie traditionnelle des ressources naturelles. Nous devons éliminer le cloisonnement. Nous devons décloisonner la conversation. Initiative Une province, une économie. C'est ainsi que se fait la mobilisation avec les régions urbaines de la Colombie-Britannique. 25 bandes autochtones ont des relations avec des entreprises qui desservent les mines. L'automatisation suscite beaucoup de craintes. Occasion d'éliminer le cloisonnement dans la conversation et de ne pas avoir honte de l'industrie minière.
- L'industrie de la technologie fait partie de la chaîne d'approvisionnement. Tout est interrelié.
- L'un des plus grands défis : maintenir les portes et les corridors commerciaux de l'Ouest. Participation des communautés autochtones. Le point de vue selon lequel les communautés autochtones ne veulent pas participer est erroné. La Première Nation Kwikwetlem est en train de se transformer en une vaste zone industrielle (grâce à ses terres, qui sont louées plutôt que vendues). Dans le Lower Mainland, il ne reste plus de terres. Le développement se fera donc autrement. Nous avons besoin d'une stratégie nationale sur les transports.
- Vision : soins de santé de précision. Cela pourrait et devrait changer notre système de soins de santé, la vision n'est pas mise en œuvre, ou alors de façon fragmentaire. Nous pourrions être des chefs de file dans ce domaine. Le Canada ne fera pas partie de cette révolution si nous n'agissons pas rapidement. D'autres pays nous devanceront. C'est ce que veulent les patients.
- Préférerait être un vendeur, car cela mène à la croissance économique.
- À l'heure actuelle, nous expédions la plupart de nos échantillons biologiques aux États-Unis pour l'analyse génomique. Cela devrait se faire en Colombie-Britannique.
- Nous envisageons tous d'adopter une approche intégrée (financière et sociale). Nous cherchons à bâtir l'économie pour résoudre d'autres problèmes.
- Aux États-Unis, les compagnies d'assurance ont d'énormes incitations à opter pour les soins de santé de précision. Dans le système canadien, nous n'avons pas cet incitatif.
- Il serait intéressant de demander dans quelle mesure les valeurs sociales ont une incidence...
- Les données découlant des soins de santé de précision incitent le secteur privé à innover. L'Université de la Colombie-Britannique crée des entreprises en démarrage qui se serviront d'images pour promouvoir l'apprentissage machine. Les sciences de la vie connaissent une croissance rapide. Nous devons avoir une vue d'ensemble.
- Dans le domaine des transports, il y a des pressions pour l'obtention de mégadonnées.
- La tendance est à une économie plus inclusive.
- 10 ans, ce n'est pas suffisant.
Thème no 1 : Indicateurs de réussite économique
- Comment définit-on la réussite économique? Pour parler de croissance et de réussite, il faut d’abord les définir.
- L’indicateur de progrès véritable (IPV) en est à ses débuts (initiative du gouvernement de la Colombie-Britannique). L’IPV tient compte des progrès économiques, sociaux et environnementaux. L’accent est mis sur la façon dont les trois programmes évoluent simultanément.
- L’OCDE utilise des mesures du bien-être qui sont comparables d’un pays à l’autre.
- L’OCDE et Statistique Canada travaillent à l’élaboration de mesures du PIB qui tiennent compte du bien-être.
Thème no 2 : Possibilités en matière de santé de précision
- La santé de précision offre de grandes possibilités. Elle pourrait et devrait changer notre système de soins de santé, mais elle n’est pas mise en œuvre.
- Aux États-Unis, les compagnies d’assurance ont d’énormes incitatifs à adopter la santé de précision, mais nous n’en avons pas dans le système canadien.
- Les données découlant des soins de santé de précision incitent le secteur privé à innover.
Thème no 3 : Automatisation
- L’automatisation change les chaînes de valeur à plusieurs niveaux. Le secteur de la technologie détruit des emplois en raison de l’objectif d’efficacité.
- L’automatisation suscite beaucoup de craintes en raison de la possibilité de pertes d’emplois. Un participant a fait remarquer que la production avait doublé dans les installations de fabrication, mais que la main-d’œuvre avait diminué.
Q2) Quelles sont les meilleures façons de stimuler une nouvelle croissance dans l'Ouest canadien?
- Pourquoi n'encourageons-nous pas les entrepreneurs à innover?
- Difficulté d'entamer le dialogue avec le gouvernement : l'industrie minière ne fait pas concurrence aux autres secteurs, elle fait concurrence au secteur minier chilien.
- Demande de solutions. Vous ne pouvez obtenir des capitaux que si vous avez une base économique solide, complétée par des fondations environnementales et sociales.
- À la Banque du Canada, le taux de change est en hausse. Quels sont les obstacles à l'investissement? Le coût à payer pour faire des affaires augmente. Qu'est-ce qui garde les entreprises au Canada? Ce sont les raisons personnelles et sociales non commerciales. Nous devons maintenir notre niveau de vie.
- Il est tellement difficile de bâtir une entreprise en Colombie-Britannique. On dit à nos jeunes entrepreneurs de ne pas penser à commencer ici, car notre économie n'est pas organisée pour accueillir de grands preneurs de risques. On les encourage plutôt à trouver des utilisateurs précoces aux États-Unis. Les gens veulent élever leurs enfants ici, mais ils ont de la difficulté. Nous ne pouvons pas attirer des employés de niveau B, encore moins des gestionnaires. Dès qu'ils voient le coût de la vie (logement, nourriture, taxes), ils ne veulent pas travailler ici.
- Nous devons inciter les gens à venir ici et à prendre des risques. La réalité d'aujourd'hui, c'est la mondialisation.
- Document intéressant de Peter Nicholson (qui explique pourquoi le taux d'adoption de l'innovation au Canada est faible). Comme la croissance des salaires est faible et que les impôts sont peu élevés, il est rentable de maintenir l'innovation à un bas niveau. Le Canada est à 80 % du PIB américain depuis de nombreuses années. En 2010-2016, la productivité du Canada était supérieure à celle des États-Unis.
- Le cycle de développement des produits est rapide; l'adoption des technologies va de pair avec ce cycle. C'est pourquoi il y a beaucoup d'innovation.
- Approvisionnement. Le gouvernement fédéral est difficile à convaincre. Solutions innovatrices Canada est une nouvelle approche.
- 5 % de l'approvisionnement fédéral américain doit aller aux nouvelles technologies, l'argent vient d'un fonds central.
- Innovation Canada. Les incitatifs et les modèles ne favorisent pas l'innovation. Les ententes d'infrastructure entre le gouvernement fédéral et les gouvernements provinciaux incluent maintenant des exigences sociales (p. ex. femmes, membres de minorités).
- Solution : uniformiser les règles du jeu ou ajuster la chaîne d'approvisionnement.
- Quels sont les avantages économiques locaux que vous créez?
- L'Administration portuaire a inclus un élément de valeur sociale. Maintenant, YVR exige que 1 % des revenus, de même qu'un certain pourcentage d'emplois spécialisés, aillent aux Musqueam.
- Pour les technologies propres, nous devons promouvoir d'autres régions de la Colombie-Britannique.
- Appuyer l'accès à la large bande. Le ministre a fait une annonce à Haida Gwaii. Il faut déterminer comment utiliser la connectivité
Thème no 1 : Difficulté à stimuler une nouvelle croissance ici
- Il est difficile de bâtir une entreprise en Colombie-Britannique. On dit à nos jeunes entrepreneurs de ne pas penser à créer une entreprise ici, car notre économie n’est pas organisée pour accueillir de grands preneurs de risques. On les encourage plutôt à trouver des utilisateurs précoces aux États-Unis.
- Les gens veulent élever leurs enfants ici, mais ils ont de la difficulté. Nous ne pouvons pas attirer des employés de niveau B, encore moins des gestionnaires. Dès qu’ils voient le coût de la vie (logement, nourriture, taxes), ils ne veulent pas travailler ici.
Thème no 2 : Besoin de créer des incitatifs pour stimuler la croissance
- Comme la croissance des salaires est faible et que les impôts sont peu élevés, il est rentable de maintenir l’innovation à un bas niveau. Le Canada est à 80 % du PIB américain depuis de nombreuses années. En 2010-2016, la productivité du Canada était supérieure à celle des États-Unis.
- Nous devons inciter les gens à venir ici et à prendre des risques. Les modèles incitatifs actuels ne favorisent pas l’innovation.
Q3) Qu'est-ce qui permettra à l'économie autochtone de continuer à croître?
- Il faut nous assurer que nous avons la meilleure infrastructure (transport, télécommunications, soins de santé, etc.), car il s'agit d'un catalyseur de croissance. On ne peut pas construire des entreprises novatrices de calibre mondial sans cela.
- Nous devons être un endroit concurrentiel pour l'obtention de capitaux. Nous sommes passés d'un régime fiscal concurrentiel à un régime non concurrentiel. On n'en a plus pour longtemps avec les biens immobiliers.
- L'image internationale de la Colombie-Britannique a changé au cours des cinq dernières années.
- Inquiétude : les étudiants indiens de MITACS font des stages, et jusque-là, le Canada n'est pas dans leurs priorités.
- L'accès aux capitaux et aux talents est un enjeu important.
- Le vent tourne lorsqu'il est question d'attirer des étudiants étrangers au Canada. Nous faisons maintenant partie de leurs priorités. Rôle des établissements universitaires dans le développement économique :
- Les établissements d'enseignement se sont réveillés (en particulier l'Université Simon Fraser et l'Université de Victoria). Nous n'avons pas beaucoup à offrir en ce qui a trait au développement économique :
- Projet de petites maisons. Comprend de multiples programmes à l'Université de la Colombie-Britannique pour développer de petites maisons culturellement adaptées et sont durables. Un plan a été élaboré pour les maisons (environ 9 m2). Les maisons sont construites en grappes. Bâtisseurs sans frontières est venu former des Autochtones dans la collectivité pour faire des travaux de construction. Il y a maintenant un intérêt énorme de la part d'autres communautés autochtones.
- Projet pilote de surveillance et de purification de l'eau. La création d'un programme quelconque visant à élargir la portée de ces projets pilotes contribuerait grandement à la résolution d'un énorme problème social.
- Helen peut envoyer ces descriptions de projet.
- Les établissements d'enseignement se sont réveillés (en particulier l'Université Simon Fraser et l'Université de Victoria). Nous n'avons pas beaucoup à offrir en ce qui a trait au développement économique :
- Il faut aborder les communautés autochtones en leur demandant comment elles aimeraient participer (vue d'ensemble). C'est pratique si le projet est local.
- Penser aux finalistes dans un concours. La prochaine étape consiste à obtenir un revenu suffisant et à créer une économie locale. Nous ne pouvons pas imposer la version du « succès » des Blancs aux communautés autochtones. Les objectifs sont différents. Les priorités varieront d'une communauté autochtone à l'autre. 97 % des achats sont inférieurs à 25 000 $. Comment évaluerons-nous le succès dans 10 ans?
- Réconciliation et cheminement que nous avons entrepris. Complètement séparé. Il s'agit de s'adapter aux différentes communautés. Tout le monde veut avoir un but et de l'espoir, mais chaque communauté a une idée différente de ce que cela signifie. Nous devrions éviter d'utiliser le libellé actuel de la question 3. Ce n'est pas la question qu'il fallait poser. Les communautés autochtones veulent rédiger leur propre plan.
- Lorsqu'on établit un plan, il faut être précis.
- La génération qui suivra aura une vision différente de ce à quoi l'économie devrait ressembler.
- Attirer des compétences : ce que les entreprises disent, c'est que dans les métiers, il y a des lacunes à combler. Pouvons-nous faire entrer plus de gens de cette catégorie grâce à l'immigration? Ces emplois ne seront probablement pas automatisés. Les jeunes ne veulent pas de ces emplois. Les étudiants autochtones ont bénéficié d'une formation dans les métiers. Combien de personnes de l'extérieur du Canada faisons-nous venir pour occuper ces emplois?
- L'industrie minière veut voir où vont les choses en ce qui concerne le développement des compétences
- Les parcs aquatiques sont faits de composites. Grosses répercussions.
Thème no 1 : Besoin de construire une infrastructure adéquate
- Il faut nous assurer que nous avons la meilleure infrastructure (transport, télécommunications, soins de santé, etc.), car il s’agit d’un catalyseur de croissance.
- On ne peut pas construire des entreprises novatrices de calibre mondial sans cela.
Thème no 2 : Version autochtone du développement et de la réussite
- Il faut aborder les communautés autochtones en leur demandant comment elles aimeraient participer dans l’ensemble. C’est pratique si les projets sont locaux.
- Nous ne pouvons pas imposer la version du « succès » des Blancs aux communautés autochtones. Il y a une différence importante entre les objectifs, et les priorités diffèrent d’une communauté autochtone à une autre.
- Tout le monde veut avoir un but et de l’espoir, mais chaque communauté a une idée différente de ce que cela signifie
Thème no 3 : Problème relatif à la question no 3 de la SCOC (Qu’est-ce qui aidera l’économie autochtone à poursuivre sa croissance?)
Nous devrions éviter d’utiliser le libellé actuel de la question 3. Ce n’est pas la question qu’il fallait poser. Les communautés autochtones veulent rédiger leur propre plan.
Q4) Comment pouvons-nous améliorer la participation économique dans l'Ouest des groupes sous-représentés (notamment les femmes, les jeunes et les nouveaux immigrants)?
- Continuer d’offrir une aide pour les services de garderie. Il est important de poursuivre en ce sens. Il faut résoudre ce problème dans le milieu de la technologie.
- La représentation des femmes au sein des conseils d’administration a bien progressé, mais elle n’est plus aussi bonne aujourd’hui. La prise de mesures s’impose
Thème : Idées pour améliorer la participation économique des groupes sous-représentés
- Continuer d’offrir une aide pour les services de garderie afin d’améliorer la participation économique. Il faut résoudre ce problème en particulier dans le milieu de la technologie.
- Il y a eu de bons progrès au niveau de la représentation des femmes au sein des conseils d’administration dans le passé, mais la situation empire maintenant; il faut agir.
Q5) Comment les gouvernements, l'industrie et les Canadiens de l'Ouest peuvent-ils collaborer pour faire croître l'économie régionale?
- Composites Research Network : 9 millions de dollars ont été investis dans ce projet il y a des années. Quand on pense à ce que cela a donné jusqu’à maintenant, il y a eu de nombreuses répercussions. La valeur de l’investissement dans ce projet, la croissance obtenue, a été spectaculaire. Ce niveau de collaboration avec le milieu universitaire et les gouvernements est essentiel.
- Frustré par les consultations. Gordon Campbell était premier ministre à l'époque et a tenu un sommet économique avec des dirigeants de tous les secteurs de l'économie (après 2008). Ce sommet a donné lieu à des idées inattendues.
- Le gouvernement fédéral peut jouer un rôle de rassembleur, année après année, dans des dossiers pertinents (p. ex. économie, soins de santé). Apprécie le rôle de DEO dans les consultations.
- Le premier principe de la stratégie est de faire en sorte que les intervenants en acceptent la responsabilité. Les Canadiens sont bons en matière de collaboration.
Thème : Collaboration et rôle de rassembleur du gouvernement fédéral
- Le projet de recherche sur les composites est un bon exemple d’investissement qui mène à quelque chose de spectaculaire. Ce niveau de collaboration avec le milieu universitaire et les gouvernements est essentiel.
- Le gouvernement fédéral peut jouer un rôle de rassembleur, année après année, dans des dossiers pertinents (p. ex. économie, soins de santé). Un participant a apprécié le rôle joué par DEO dans les consultations.
- Le premier principe de la stratégie est de faire en sorte que les intervenants en acceptent la responsabilité. Les Canadiens sont bons en matière de collaboration.
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